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Autour du coaching

Le Coaching : Un Partenariat pour Libérer le Potentiel Humain

Le coaching, un partenariat pour libérer le potentiel humain

Le coaching est un processus d’accompagnement personnalisé qui permet à une personne de dépasser ses limites et d’optimiser ses ressources.

Bien que le coaching soit souvent associé à des contextes professionnels, il s’applique à de nombreux aspects de la vie, de la carrière à la croissance personnelle.

Qu'est-ce que le coaching ?

Le coaching est un partenariat entre un coach et un coaché (la personne accompagnée) visant à faciliter le développement personnel et professionnel. Il se distingue des autres formes d’accompagnement telles que le mentorat ou la thérapie par son approche orientée vers l’action et les résultats. Le coach aide le coaché à identifier ses objectifs, à (re)découvrir ses ressources intérieures, et à élaborer un plan d’action pour atteindre son but.

L'accompagnement de l'humain

Le coaching se concentre sur l’humain dans sa globalité. Il prend en compte non seulement les compétences et les capacités de la personne, mais aussi ses valeurs, ses croyances, et ses motivations.
Le coach cherche à créer un espace de confiance où le coaché peut explorer librement ses pensées et ses émotions. Ce cadre bienveillant permet au coaché de prendre conscience de ses blocages et de ses opportunités, favorisant ainsi un développement harmonieux et durable.

Un partenariat collaboratif

L’un des principes fondamentaux du coaching est le partenariat entre le coach et le coaché. Contrairement à une relation hiérarchique où le coach serait vu comme l’expert, le coaching repose sur l’idée que le coaché est l’expert de sa propre vie. Le rôle du coach est de poser les bonnes questions, d’écouter activement et de fournir des feedbacks constructifs pour aider la personne à trouver ses propres solutions. Cette dynamique collaborative stimule l’autonomie et la responsabilité de l’individu, le rendant acteur de son propre changement.

Libérer le potentiel : dépasser ses limites et optimiser les ressources

L’un des objectifs principaux du coaching est de libérer le potentiel du coaché. Cela implique de l’aider à dépasser ses limites perçues et à optimiser ses ressources. Le coaching permet de prendre conscience de ses capacités latentes et de ses forces, souvent sous-utilisées. Par exemple, un coaché peut découvrir qu’il a des compétences en communication qu’il n’avait jamais exploitées pleinement, ou qu’il possède une résilience insoupçonnée face aux défis.

Le processus de coaching encourage également la personne à sortir de sa zone de confort et à affronter ses peurs et ses doutes. En adoptant une approche progressive et structurée, le professionnel aide son client à définir des objectifs clairs et réalistes, et à élaborer des stratégies pour surmonter les obstacles. Chaque succès, même petit, renforce la confiance en soi et la motivation, créant ainsi un cercle vertueux de développement personnel.

Une approche orientée solution

Le coaching est résolument orienté ”solution”. Plutôt que de se focaliser sur les problèmes, le coaching cherche à identifier les objectifs à atteindre et à déterminer les actions à mener pour y parvenir. Cette approche proactive permet de transformer les défis en opportunités de croissance.

Le processus commence généralement par la définition d’un objectif clair et précis. Cet objectif peut être de nature professionnelle (par exemple, obtenir une promotion ou améliorer ses compétences en leadership) ou personnelle (comme trouver un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée ou renforcer sa confiance en soi). Une fois l’objectif défini, le coach et le coaché travaillent ensemble pour élaborer un plan d’action détaillé. Ce plan inclut des étapes concrètes, des ressources nécessaires, et des indicateurs de progrès.

Le rôle du coach

Le rôle du professionnel est crucial dans ce processus. Un coach efficace possède des compétences en communication, en écoute active, et en questionnement puissant. Il sait créer un environnement de soutien et de challenge qui pousse le coaché à donner le meilleur de lui-même. Le coach utilise différentes techniques et outils, comme les exercices de visualisation, les feedbacks constructifs, et les techniques de gestion du stress, pour aider l’individu à progresser.

En conclusion

En somme, le coaching est un outil puissant pour libérer le potentiel humain. Grâce à un partenariat collaboratif et une approche orientée solution, le coaching permet au coaché de dépasser ses limites, d’optimiser ses ressources, et d’atteindre ses objectifs. Que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles, le coaching offre une voie vers une meilleure compréhension de soi et l’utilisation de son plein potentiel. Pour ceux qui cherchent à apporter des changements positifs dans leur vie, le coaching peut être un accompagnement précieux et transformateur.

Le coaching est il une thérapie ?

Le coaching est-il une thérapie ?

Il est parfois difficile de bien comprendre ce qu’est le coaching et de le différencier de la thérapie.
Je vous propose de faire le point.

Tout d’abord, les points communs :

Ce sont deux professions de la relation d’aide, deux métiers d’humain à humain. Les praticiens suivent et respectent des règles de déontologie strictes. Ils se font régulièrement superviser.
Les séances sont fondées sur une relation de respect et se déroulent dans un climat de confiance qui permet à la personne consultant le spécialiste de s’ouvrir et d’évoluer en toute sécurité.
L’écoute active et sans jugement est un des fondements de chaque pratique ; les praticiens ont conscience de leurs responsabilités.
Certains outils ou techniques peuvent également être communs.
Si coaching et thérapie accompagnent tous deux un désir de changement, la démarche est cependant différente.

Commençons par décrire plus spécifiquement la thérapie :

Le praticien est un thérapeute, il s’occupe de soigner un patient, de l’aider à guérir.
Il répond à la demande “je ne veux plus …”

L’objet d’une thérapie est d’aider le patient à sortir d’un état de souffrance psychologique. Pour rendre le présent plus confortable, le praticien va amener la personne à retourner dans ses souvenirs passés pour mieux les comprendre et analyser la cause du mal-être et se libérer du poids du passé. La principale question d’une thérapie est “pourquoi ? “.

La thérapie a une durée indéfinie, qui va généralement de quelques mois à quelques années.

Et le coaching alors ?

Le praticien est un guide qui accompagne son client à atteindre un objectif prédéfini.
Il encadre le client dans son processus évolutif, il n’est pas un conseiller.
Le coach est garant du processus, le client est responsable du contenu.

L’objet du coaching est de permettre au coaché de mobiliser ses compétences et ses ressources pour atteindre le but qu’il s’est fixé.
Le coach accompagne son client à définir cet objectif de manière précise ; ils vérifient ensemble qu’il soit réaliste, bon pour la personne et déterminent les critères de mesure d’atteinte de cet objectif.
Après avoir questionner le “pour quoi ?”, le “comment ?” devient le principal axe de travail : comment passer de l’état présent à la situation souhaitée ?
Le coaching est axé présent – futur ; s’il prend en compte les éléments passés, c’est uniquement pour clarifier rapidement la situation et trouver les moyens pour atteindre l’objectif.

Il se déroule sur un nombre de séances préalablement déterminé, qui va généralement de 6 à 12.
Ce type d’accompagnement est destiné à la réalisation de soi et la réalisation de projets ; il est orienté “action”. D’ailleurs, des démarches à entreprendre entre deux séances sont souvent décidées.

Parfois complémentaires :

Pour aller de l’avant, il est plus facile de s’être libéré de ce qui nous retient dans le passé.
Si vous vous sentez mal, la thérapie est certainement plus adaptée.

Si vous allez “bien” et que vous souhaitez aller “mieux”, le coaching vous sera utile.
Le coaching s’est développé au départ auprès des sportifs et des artistes ; ces personnes obtenaient des performances correctes qu’ils voulaient optimiser pour faire la différence. Il est ensuite entré dans le monde de l’entreprise pour accompagner les managers et dirigeants à être plus efficace dans un monde en perpétuel changement. Il s’étend désormais à tous les domaines de vie.

Aurélie Foucart le résume très bien : 
“La thérapie et la psychologie permettent de passer de dysfonctionnel à fonctionnel. Le coaching permet de passer de fonctionnel à hyperfonctionnel.”

En conclusion

Comme l’écrit J. Leydier (forbes.fr)
« Faire appel à un coach, c’est avant tout prendre conscience que nous ne sommes que des êtres humains qui ne recherchent pas la perfection, mais qui essaient de vivre aussi bien que possible avec leurs qualités et leurs défauts et s’adapter au monde qui les entoure. Certes, un coach n’est pas une recette magique de bonheur suprême et le prix à payer ne se limite pas au montant financier qui figure sur la facture. Avec de l’effort, de la volonté et surtout, avec un coach de qualité, il est possible d’atteindre des sommets ! »

Les présupposés de la PNL

Les présupposés de la PNL

Les présupposés de la PNL sont des hypothèses de travail, des croyances pratiques sur lesquelles s’appuient la PNL.
Il permettent d’adopter une vision élargie d’une situation, ouvrant ainsi à une plus grande flexibilité et un champ de solutions plus important.

Je vous propose d’explorer quelques-uns de ces présupposés et d’étudier comment ils peuvent vous aider au quotidien.

La carte n'est pas le territoire

Ce présupposé est certainement le plus connu de tous. 

Cette notion correspond au fait que nous percevons le monde qui nous entoure (le territoire) à travers nos sens (vue, toucher, ouïe, odorat, goût). Nous nous en faisons une représentation interne (la carte) qui dépend de notre contexte socioculturel et de notre expérience individuelle.
Cette représentation n’est pas exactement la réalité, il existe autant de cartes (représentations de la réalité) que d’êtres humains ; la carte du monde de mon interlocuteur est aussi légitime que la mienne !

La construction de notre carte du monde est neutre en elle-même. Elle peut devenir une aide ou une entrave que dans un contexte donné.

Prenons l’exemple de l’agressivité : dans le quotidien, cette attitude peut être qualifiée d’inappropriée ; sur un ring, il en est autrement.

Tout comportement est animé par une intention positive

L’inconscient d’une personne la porte à faire le meilleur choix parmi ceux qui lui sont possibles (selon sa carte du monde) à un moment donné, dans un contexte donné.

Le comportement n’est qu’une conséquence, l’intention positive en est la cause profonde.
Ce présupposé ne vient pas abroger la responsabilité de la personne ; il permet de trouver le besoin qu’il y a derrière une attitude inadaptée et y répondre de manière appropriée.

Plus question alors de chercher à arrêter le comportement qui dérange, mais plutôt de trouver une alternative moins gênante qui remplit ce besoin de l’intention positive.

Un exemple très contemporain pourrait être celui de la procrastination. Ce comportement qui consiste à reporter une une tâche ou un objectif pour lequel un engagement a été pris qui qui fait souvent culpabiliser son auteur.
Quelle intention positive peut se cacher derrière cette attitude ? la peur de l’échec ou le perfectionnisme (mieux vaut ne pas faire que de ne pas faire assez bien), le manque de confiance en soi (je préfère rester dans une zone connue) …
En trouvant comment répondre au besoin sous-jacent, il devient alors beaucoup plus facile de mettre en place les actions nécessaires à l’atteinte de l’objectif !

Il n'y a pas d'échec, seulement des expériences

L’échec est une perception, une émotion ; ce sentiment n’est en aucun cas une réalité objective (des faits précis).

Considérer “l’échec” comme une information, un retour d’expérience permet un nouvel apprentissage : quels étaient mes critères de réussite ? étaient-ils adaptés ? qu’est-ce que je peux changer pour y arriver ? qu’est-ce qui a fonctionné ?

“Je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends” Nelson Mandela

L’échec fait partie de la vie au même titre que la réussite. Ces étiquettes que l’on pose à une expérience dépendent de notre culture, du regard posé sur la situation. Qu’est-ce que j’apprends de l’expérience que je viens de vivre ? Quelles actions sont intéressantes à reproduire ? quels comportements sont à modifier pour gagner en efficacité ?

Ce postulat engendre un autre présupposé de la PNL : on ne peut pas faire autrement que d’apprendre et changer continuellement.

La confusion est la porte d'entrée à la réorganisation des perceptions

Tout processus d’évolution naît d’un doute, d’une remise en question de croyances, processus…
Avant de construire une nouvelle façon de penser, il est indispensable de déconstruire l’existant ; c’est un moyen efficace pour laisser libre cours à la créativité.

Si, dans le quotidien, nous évitons cette sensation désagréable de chaos, elle permet pourtant des changements de conception source d’apprentissage et d’évolution.

C’est d’ailleurs souvent le sujet du coaching :
– soit, vous venez avec un trouble, un doute, des choix à faire … qui génèrent une confusion, une restructuration de vos processus internes sur la base de valeurs actualisées, de croyances remises à jour…

– soit le processus de coaching vous amène à élargir votre vision, modifier votre carte du monde … et apporte alors temporairement son lot de confusion, source d’évolution.

Etes-vous prêt à reconsidérer vos convictions pour gagner en créativité, trouver des solutions nouvelles ?

On ne peut pas ne pas communiquer

93% de la communication est non-verbale ! Une grande partie de la communication est inconsciente : les gestes, postures, mimiques, rythme, intonations en disent plus long que les mots.
Même les silences sont une forme de communication : réflexion, refus d’entrer à en relation, confusion …

En accompagnement, nous observons attentivement vos postures, vos mimiques ; même les mouvements de vos yeux sont significatifs. Ils nous aiguillent sur vos émotions sous-jacentes, nous permettent de vous questionner, de mettre en évidence ce qui se passe inconsciemment.

Les mots ont aussi leur importance.
Ils nous fournissent des informations précieuses sur votre manière de penser en termes de représentation sensorielle : êtes-vous plutôt auditif, visuel ou kinesthésique ? Ce renseignements nous est particulièrement utile pour vous guider efficacement.

Certaines tournure de phrase vont, à leur tour, mettre en lumière certains processus de pensée, qu’ils soient efficaces pour l’atteinte de votre objectif ou limitants.

Par exemple, “je ne peux pas faire cela”, nous amènera à vous questionner sur ce qui vous en empêche : une croyance ou un fait réel ? et que se passerait-il si vous pouviez ? 

Chacun de nous possède les ressources nécessaires au changement

Ce présupposé invite chacun à reprendre le pouvoir sur sa vie !

Cette hypothèse est vraiment une des bases de l’accompagnement : chacun possède toutes les ressources nécessaires – ou les capacités de les développer –  pour agir efficacement.

Comme tous les êtres humains partagent les mêmes systèmes de représentations de base, il est possible de modéliser et transférer toute compétense humaine d’une personne à une autre.

Le professionnel est là pour vous aider à identifier vos ressources, mettre en évidence dans quelle situation vous savez les utiliser, trouver comment  les renforcer, les identifier chez quelqu’un que vous pouvez prendre en modèle.

Et si çà coince ?
Le coach peut vous aider à dépasser ces obstacles en respectant la “raison d’être” du blocage et en l’invitant à s’exprimer d’une manière plus constructive en vue de l’atteinte de l’objectif.

En conclusion

Ces postulats ouvrent à une vision plus large, une mise en évidence de nos processus inconscients vers une nouvelle phase évolutive.

Le coaching est un processus de transformation pour soi, vers soi ; la PNL est bien plus qu’un outils, c’est une philosophie de vie.

Vous savez tout sur les présupposés de la PNL !

En quoi l’équicoaching peut vous aider ?

En quoi l'équicoaching peut vous aider ?

L’équicoaching est du coaching accompagné par le cheval.

Le coaching est un processus axé sur un objectif à atteindre. Cet objectif doit être précis, réaliste, bon pour vous et mesurable.
Une fois les enjeux étudiés, vient alors le temps de trouver les ressources, dépasser les freins (internes puis externes) afin de bâtir un plan d’action efficace et motivant (plus facile pour le mettre en pratique après !).

Le cheval est un formidable médiateur.
Animal social par excellence, il aime partager, coopérer. Il est très subtil dans sa communication.
De part sa nature de proie, il est très attentif au moindre changement de son environnement, notamment les émotions de son interlocuteur.
Même s’il peut être très rapide, il préfère généralement observer, se déplacer lentement.

Utiliser le cheval en coaching permet :

=> d’améliorer votre sens de l’observation
Qu’est-ce qui peut le faire réagir ? Comment anticiper pour que chacun se sente en sécurité ?
Comment se comporte-t-il ? De quelle distance a-t-il besoin ? qu’aime-t-il ?
Cette observation vous apprend à dépasser les idées reçues, les interprétations toutes faites … pour enfin être à l’écoute réelle.

=> de reprendre contact avec votre corps, vos sensations
Entrer en relation avec le cheval, c’est utiliser l’espace et le toucher.
La voix est uniquement un plus. Dans notre communication « humaine », les mots représentent moins de 20% de la communication ; il paraît alors important de maîtriser les autres formes de communication (intonation, débit, postures, gestes, mimiques …), ce que nous enseigne le cheval.
Le toucher est minimisé dans nos sociétés très intellectualisées ; le cheval nous permet de reprendre contact avec nos sensations. Comment je sens ses poils sous mes doigts, et si je pose ma joue sur son corps ? C’est réapprivoiser aussi notre corps.

=> de vous ouvrir à vos émotions, les libérer
Le cheval perçoit les émotions de son interlocuteur avec beaucoup de finesse. En l’observant, vous pouvez prendre conscience de ce qui se passe ne vous.
Le champ énergétique qui émane de lui est propice à la libération des émotions ; et si vous avez besoin d’un coup de pouce, je serai là pour vous accompagner 😉

=> d’améliorer votre communication
Communiquer, c’est comprendre le fonctionnement de l’autre pour lui faire passer un message « entendable ».
A-t-il besoin d’empathie ou de factuel ? Quelle posture devez vous prendre ? 
Au fait, êtes vous sûr de votre demande ? parce que dans le cas contraire, le cheval ne fera pas (pas plus qu’un humain, mais lui, on pensera qu’il met de la mauvaise volonté)

=> de savoir créer une relation harmonieuse
Pour fonctionner avec vous, le cheval a besoin d’apprendre à vous connaître, vous faire confiance.
Saurez-vous lui apporter la sécurité, la constance, la fiabilité dans la relation ? Saurez-vous prendre votre part de responsabilité ?
Vous apprendre à créer un lien unique et respectueux.

 

Vous pourrez profiter de ce moment “hors du temps”, au rythme du cheval.
Le contact apaisant avec cet animal majestueux vous permettra de mieux vous retrouver.
Votre relation particulière renforcera votre confiance en vous !

Des questions ? besoin d’un échange ?

Osez sortir de votre zone de confort

Osez sortir de votre zone de confort : pour quoi ?

Qu’est-ce que la zone de confort ?

La zone de confort est cet état psychologique dans lequel on est à l’aise, dans un connu que l’on sait gérer. Elle regroupe l’ensemble des habitudes, croyances, connaissances et savoir-faire préalablement acquis qu’elle permet de consolider.

Elle permet de tenir à l’écart le stress et la peur, mais elle ne permet cependant pas de faire de nouvelles expériences et de s’épanouir pleinement dans sa vie.
On peut opposer la zone de confort à la zone de peur.

Avoir peur de changer, de sortir de sa zone de confort, est une réaction tout à fait normale !
Il existe plusieurs peurs : la peur situationnelle (araignées, clown, orage …), la peur de l’inconnu, la peur de la perte, la peur de se tromper …

Sortir de sa zone de confort

Parfois, on souhaite sortir de sa zone de confort. Les motivations sont multiples : dépasser une peur pour vivre une expérience rêvée ou tout simplement surmonter des angoisses pour vivre plus sereinement.
Pour atteindre la zone d’évolution , vivre ses rêves et expérimenter de nouvelles choses, nous passons régulièrement par la zone d’apprentissage.

C’est à ce moment que l’on va questionner ses objectifs, évaluer sa motivation. Où se trouve la frontière entre mon envie et mes freins internes ? Est-ce que mon objectif vaut les efforts que je vais faire ?
Il va être nécessaire d’apprivoiser ses peurs, les rationaliser, libérer les émotions associées.
Suivant l’objectif, l’intensité des entraves, le processus peut-être plus ou moins complexe et nécessite parfois d’être bien entouré.

Comment cela se passe pour vous ?

– Avez-vous envie de faire des choses mais vous n’osez pas ?
– Vous sentez-vous mal à l’aise dans certaines situations ?
– Comment faites – vous face à cet inconfort ? En évitant la situation ? En fonçant tête baissée ?

Un exemple personnel : 
Il y a quelques années, je rêvais de partir en vacances avec mes chevaux.
Cela n’était qu’un rêve que je n’imaginais pas mettre en pratique.
Un jour, en cherchant une maison de location pour un séjour, je suis « tombée » sur une annonce qui me faisait rêver : Une maison dans un grand domaine, avec un immense pré à côté pour accueillir … des chevaux !
Je n’avais pas de van, je n’en avais jamais conduit (même si j’avais le permis depuis mes 18 ans, car à l’époque, c’était juste une visite médicale).
L’envie était forte, très forte mais …. emprunter un van, le conduire … allais-je en être capable ?
Après quelques hésitations, un peu d’entraînement mental, j’ai sauté le pas : réservé le gîte, demandé un van et je me suis entrainée pour le jour J !
Résultat : de magnifiques vacances !

 

Qu'est-ce qu'un accompagnement peut vous apporter ?

En clarifiant le but, en précisant les motivations, nous donnons plus de valeur, plus de sens à votre démarche.
Lorsque l’on sait l’impact positif qui suivra l’atteinte d’un objectif, nous sommes plus à mêmes à prendre des risques, sortir des sentiers battus.

Une fois l’objectif et les enjeux déterminés, la mise en place d’un plan d’actions étape par étape permet d’avancer sur le chemin, de construire des bases solides,  et d’élargir progressivement notre zone de confort !

Et si çà coince ? On se sert d’outils !
On en a toute une caisse, pour atténuer l’impact émotionnel de certaines expériences traumatisantes, pour retrouver des compétences perdues lors d’une situation désagréable, pour trouver des ressources cachées en soi, renforcer la confiance, négocier avec soi-même …

Utiliser la CNV, pourquoi est-ce si difficile ?

Utiliser la CNV, pourquoi est-ce si difficile ?

Qu'est-ce que la CNV ?

La Communication Non Violente est un processus de communication déposé par Marshall Rosenberg.
Selon lui, “c’est la combinaison d’un langage, d’une façon de penser, d’un savoir faire en communication {…}”

Le processus repose sur une pratique en 4 étapes qui “renforce notre aptitude à conserver nos qualités de coeur, même dans des conditions éprouvantes”.

Quelles sont les étapes ?

1. Exposer la situation de manière factuelle
2. Observer son ressenti (sentiments, émotions)
3. Analyser le besoin que j’éprouve
4. Effectuer une demande

Dans les relations, cette méthode est efficace pour s’exprimer avec bienveillance ; elle peut limiter les conflits ou désamorcer des situations délicates.

Communiquer en conscience

On peut s’en servir uniquement en outil de communication sur l’instant, on peut également aller plus loin et profiter de ses atouts pour gagner en conscience :

1. Analyser la situation de manière factuelle permet d’éviter d’interpréter, de donner des intentions (imaginées) au partenaire ; cette prise de recul est également intéressante dans toutes les situations de la vie courante.

2. Observer les ressentis que ce soient les émotions ou les sentiments, cette étape nous invite à nous recentrer sur soi-même :
Qu’est-ce qui me touche ? qu’est-ce que je ressens à ce moment précis ? Quand ai-je déjà ressenti cette émotion ? Qu’est-ce que cette situation réveille ?

3. Un besoin insatisfait se cache derrière chaque émotion : (peur = besoin de sécurité, tristesse = besoin de réconfort …)
Prendre conscience de ses propres besoins dans l’instant présent nous autorise à découvrir nos besoins plus profonds, les besoins derrière les besoins. Combler ces besoins essentiels nous amène du mieux-être et améliore notre estime de soi.

4. Une demande claire sera plus facile à énoncer de manière bienveillante et respectueuse une fois ces étapes effectuées.

Quelles sont les difficultés ?

1. Concernant l’exposé des faits :

Sur le coup, lorsque les émotions ont pris le dessus, il devient difficile de raisonner et distinguer les sentiments/sensations des faits réels.
Pour distinguer les faits, répondre aux questions qui ? où ? quand ? comment ?
Rester dans un énoncé et non une accusation. Pas si facile !

Je vous propose de vous entrainer sur des situations de la vie courante, par exemple : 
« lorsque mon conjoint sort des toilettes, il ne rabat pas la lunette des WC » est factuel ; « lorsque mon conjoint sort des toilettes, il s’en fou de ce que je lui ai dit 1000 fois, il laisse tout comme çà » n’est pas précis, ni uniquement factuel.

2. Observer les ressentis

Suivant notre fonctionnement personnel, nous avons tendance soit à nous laisser envahir par nos ressentis, soit à tout bloquer pour avoir l’impression de tout maîtriser (comme la cocotte minute).

Si vous avez tendance à être envahi (e), des émotions n’ont peut-être pas été entendues par le passé ; elles frappent plus fort à la porte aujourd’hui.
Un travail approfondi avec un professionnel peut vous permettre d’entendre les messages (certes criés un peu fort) de cas émotions, sentiments ; une fois compris, il pourrons chuchoter l’information. Plus besoin d’essayer de gérer le trop plein !

Si vous êtes coupé de votre ressenti, posez-vous la question : quel risque à ressentir de nouveau (bah oui, quand vous étiez bébé, vous avez ressenti … vous savez faire).
Pour vous entraîner, vous pouvez observer ce qui ce passe dans le corps, uniquement dans le corps : où est-ce que çà se trouve ? çà fait comment ? quelle intensité ? Commencez avec des moments agréables 😉

3. Trouver le besoin

Ecouter nos besoins … je ne sais pas vous, mais çà n’a jamais fait partie de mon éducation ! Les besoins des autres, oui ; mais les miens …
C’est un apprentissage aussi. On peut commencer par les besoins vitaux : manger, boire, dormir… Distinguer l’envie du besoin (j’ai envie de chocolat, j’ai besoin de fruit), pour écouter réellement le besoin (pas les horaires, les diktats de notre éducation, de la société).
Ensuite, viendront peut-être les autres besoins et le besoin de respecter vos valeurs (vous savez, vos motivations fondamentales)

4. Exprimer une demande claire

Arrive enfin le moment de la demande … et si je n’étais pas entendu(e) ? si on me dit « non » ?
C’est un risque, effectivement. Dans la communication, chacun sa part :
– vous exprimer vos ressentis, vos besoins, vous ouvrez la porte à une demande
– votre interlocuteur pourra exprimer ses ressentis, ses besoins
et vous pourrez trouver un terrain d’entente.

En conclusion

Si vous souhaitez trouver une harmonie en vous – au niveau émotionnel, respect des besoins, satisfaction des valeurs – le coaching est un processus qui vous aidera à coup sûr !

Votre communication sera alors  plus fluide et vos relations plus harmonieuses.

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